Chers visiteurs nous vous souhaitons la bienvenue sur Isla Sorna ! Préparez-vous à vivre une aventure hors du commun, en suivant nos articles quotidiens, qui, en avant-première, vous révéleront les premiers pas d’hommes à travers ce parc à dinosaures, et redécouvrez ces animaux, qui étaient absents de la surface de la Terre depuis plus de 65 millions d’années ! Pour savoir la réelle évolution des têtes d’affiche de « Jurassic Park », tels que Tyrannosaure ou Velociraptor, dans leur milieu naturel, suivez-nous à travers ISLA SORNA !
Mais avant de vivre ce fabuleux périple, nous vous invitons à parcourir l’interview du cerveau et père de l’île, Hansjörg Vanderham.
Nous sommes une cinquantaine de personnes sur le pont du navire, qui nous sert de moyen de transport jusqu’à l’île, mais aussi de base pendant notre séjour sur le parc. Après notre premier repas de l’aventure, nous profitons de l’attente du dessert pour échanger quelques mots avec M. Vanderham, qui nous permettent de nous introduire efficacement dans le concept d’Isla Sorna.
Reporter au Jurassique : « Le nom Isla Sorna est en référence à la célèbre trilogie de Spielberg, « Jurassic Park ». Vous êtes-vous réellement inspiré de la fiction pour créer votre parc à dinosaures ? »
Hansjörg Vanderham : « En fait mon île a de point commun avec Isla Sorna que son nom, qui pour moi est une sorte d’hommage au roman de Michael Crichton qui en premier a eu l’idée d’une telle aventure. De plus, je n’aime pas trop qualifier Isla Sorna de « parc ». En effet, ce que j’ai voulu faire avec cette île est simplement de concrétiser les dinosaures afin de pouvoir mettre à disposition aux scientifiques du monde entier une réserve naturelle unique en son genre, prouesse biologique et technologique. Mon but est donc bien éloigné de celui de John Hammonds dans « Jurassic Park » qui lui voulait créer un « parc » de divertissements ouvert à tous. »
RAJ : « Comment avez-vous obtenu les fonds pour vos recherches ainsi que pour obtenir le territoire nécessaire à votre réserve de dinosaures ? »
HV : « Il y a cinq ans, lorsqu’a débuté le projet d’Isla Sorna, mes recherches scientifiques étaient déjà pas mal abouties et avaient déjà montré plusieurs résultats concrets. Dès lors, il me fut assez aisé de trouver des mécènes qui m’ont généreusement soutenu dans mon aventure. L’obtention du territoire me demanda plus d’efforts, dans la mesure où de nombreux gouvernements avaient mis en place des règles très strictes au niveau de l’obtention de territoires insulaires par des particuliers et que les clichés de « Jurassic Park » refroidissaient passablement de politiques. C’est finalement avec le gouvernement guyanais que j’ai pu trouver un accord, car d’une part la législation guyanaise est plus souple et d’autre part la Guyane était particulièrement intéressée par les avantages financiers du tourisme scientifique découlant d’Isla Sorna. »
RAJ : « Quelles sont les infrastructures que vous avez mis en place pour le bon fonctionnement de la réserve ? »
HV : Sur l’île à proprement dite, aucunes infrastructures de sécurité ont été mises en place : les dinosaures évoluent en parfaite liberté. Des caméras, antennes radio et des détecteurs en tout genre ont été disposés partout dans l’île afin de faciliter la surveillance et l’approche des animaux. Un petit port pouvant accueillir les navettes du navire a été construit sur la côte ouest de l’île. C’est aussi à cet endroit qu’est disposé le camp de secours si l’accès au navire devait devenir trop périlleux. Un camp est établi chaque jour afin de rassembler le matériel sur l’île et il est protégé par plusieurs gardes-faunes aidés par l’épandage d’une urine synthétique de super-prédateur tout autour. »
RAJ : « Comment estimez-vous la viabilité de votre réserve à long terme ? »
HV : « C’est une très bonne question. A priori, j’estime la durée de vie de la flore à moins de dix ans. Elles sont les premières à souffrir des différences chimiques de l’atmosphère actuelle par rapport à leur atmosphère originelle. Afin d’augmenter leur durée de vie, nous aurons recourt aux chemtrails et des remplacements seront certainement nécessaires. Pour les animaux, il est difficile de se prononcer déjà maintenant mais il est probable qu’ils souffriront aussi des différences climatiques entre leur époque et la nôtre. Une équipe scientifique est en plaine recherche pour trouver une manipulation génétique qui les rendrait résistant à ces différences. Sur ce, je me permets de prendre congé de vous, d’autres journalistes m’attendent également. Merci de votre intérêt pour Isla Sorna. »
Reporter au Jurassique ©
Mais avant de vivre ce fabuleux périple, nous vous invitons à parcourir l’interview du cerveau et père de l’île, Hansjörg Vanderham.
Nous sommes une cinquantaine de personnes sur le pont du navire, qui nous sert de moyen de transport jusqu’à l’île, mais aussi de base pendant notre séjour sur le parc. Après notre premier repas de l’aventure, nous profitons de l’attente du dessert pour échanger quelques mots avec M. Vanderham, qui nous permettent de nous introduire efficacement dans le concept d’Isla Sorna.
Reporter au Jurassique : « Le nom Isla Sorna est en référence à la célèbre trilogie de Spielberg, « Jurassic Park ». Vous êtes-vous réellement inspiré de la fiction pour créer votre parc à dinosaures ? »
Hansjörg Vanderham : « En fait mon île a de point commun avec Isla Sorna que son nom, qui pour moi est une sorte d’hommage au roman de Michael Crichton qui en premier a eu l’idée d’une telle aventure. De plus, je n’aime pas trop qualifier Isla Sorna de « parc ». En effet, ce que j’ai voulu faire avec cette île est simplement de concrétiser les dinosaures afin de pouvoir mettre à disposition aux scientifiques du monde entier une réserve naturelle unique en son genre, prouesse biologique et technologique. Mon but est donc bien éloigné de celui de John Hammonds dans « Jurassic Park » qui lui voulait créer un « parc » de divertissements ouvert à tous. »
RAJ : « Comment avez-vous obtenu les fonds pour vos recherches ainsi que pour obtenir le territoire nécessaire à votre réserve de dinosaures ? »
HV : « Il y a cinq ans, lorsqu’a débuté le projet d’Isla Sorna, mes recherches scientifiques étaient déjà pas mal abouties et avaient déjà montré plusieurs résultats concrets. Dès lors, il me fut assez aisé de trouver des mécènes qui m’ont généreusement soutenu dans mon aventure. L’obtention du territoire me demanda plus d’efforts, dans la mesure où de nombreux gouvernements avaient mis en place des règles très strictes au niveau de l’obtention de territoires insulaires par des particuliers et que les clichés de « Jurassic Park » refroidissaient passablement de politiques. C’est finalement avec le gouvernement guyanais que j’ai pu trouver un accord, car d’une part la législation guyanaise est plus souple et d’autre part la Guyane était particulièrement intéressée par les avantages financiers du tourisme scientifique découlant d’Isla Sorna. »
RAJ : « Quelles sont les infrastructures que vous avez mis en place pour le bon fonctionnement de la réserve ? »
HV : Sur l’île à proprement dite, aucunes infrastructures de sécurité ont été mises en place : les dinosaures évoluent en parfaite liberté. Des caméras, antennes radio et des détecteurs en tout genre ont été disposés partout dans l’île afin de faciliter la surveillance et l’approche des animaux. Un petit port pouvant accueillir les navettes du navire a été construit sur la côte ouest de l’île. C’est aussi à cet endroit qu’est disposé le camp de secours si l’accès au navire devait devenir trop périlleux. Un camp est établi chaque jour afin de rassembler le matériel sur l’île et il est protégé par plusieurs gardes-faunes aidés par l’épandage d’une urine synthétique de super-prédateur tout autour. »
RAJ : « Comment estimez-vous la viabilité de votre réserve à long terme ? »
HV : « C’est une très bonne question. A priori, j’estime la durée de vie de la flore à moins de dix ans. Elles sont les premières à souffrir des différences chimiques de l’atmosphère actuelle par rapport à leur atmosphère originelle. Afin d’augmenter leur durée de vie, nous aurons recourt aux chemtrails et des remplacements seront certainement nécessaires. Pour les animaux, il est difficile de se prononcer déjà maintenant mais il est probable qu’ils souffriront aussi des différences climatiques entre leur époque et la nôtre. Une équipe scientifique est en plaine recherche pour trouver une manipulation génétique qui les rendrait résistant à ces différences. Sur ce, je me permets de prendre congé de vous, d’autres journalistes m’attendent également. Merci de votre intérêt pour Isla Sorna. »
Reporter au Jurassique ©
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire